The Meadows.

Une semaine perdue dans les méandres des aéroports américains, puis cette “convention life”, un mélange loufoque de faune diversifiée joyeusement flanquée dans un énorme bâtiment.

La vérité, c’est que Las Vegas, je n’en ai pas vu grand chose, et j’ai développé une relation amour-haine avec cette ville si étrange. Cette année, j’ai demandé à tous les locaux que nous avons croisés comment c’était, en fait, de vivre là. Parce que ce qu’on en voit, c’est toujours un brouillard avec des étoiles clignotantes partout. C’est toujours si surprenant, de réaliser (bien sûr on le sait déjà, c’est simplement une surprise perpétuelle) que des gens habitent cette ville, pour de vrai. Certains quartiers ressemblent à certains autres quartiers de Los Angeles, alors ça devient plus facile à imaginer.

 

Lorsque l’on se retrouve à Las Vegas pour une convention, on traverse les endroits clés de cette ville sans les voir, un peu comme des zombies (remplis de doughnuts… hmmmm tasty doughnuts) . Les gigantesques salles, remplies de machines à sous, les bars ouverts 24/7, l’ambiance clubbing à 7h du mat’ quand tes yeux à toi sont encore fermés à cause de l’heure qu’il est, et quand les yeux de la plupart des autres sont un peu fermés à cause du rapport heure/alcool.

 

Pour être honnête, cette ville n’a à priori rien pour me plaire, oui, c’est grandiose, et il faut le voir au moins une fois, parce que c’est fou; mais en réalité, je l’aime cette ville, parce que c’est un concentré de non-sens, les gens qui s’y promènent ont un comportement différent, tout est permis. Et ça, pour moi et mon 40mm, c’est le coup de foudre.

 

 

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